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Religion monothéiste
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Selon les civilisations, les considérations théologiques peuvent exister ou non.

Parmis les semi-hommes, la croyance en de nombreux dieux, plus ou moins apparentés aux forces naturelles du monde, est plutôt répandue. Néanmoins, le concept de dieu n'est pas aussi travaillé ni clair que chez les hommes : il s'agit plus de puissances dont la filiation et la hiérarchie n'est pas vraiment déterminée que d'un réel panthéon. Par ailleurs, il n'existe généralement pas de clergé ni de religion : tous les semi-hommes croient et craignent ces puissances, mais aucun n'est assez oisif pour baser son occupation sur l'adoration seule, car la survie prime sur les considérations purement philosophiques.

Chez la plupart des civilisations humaines (et anciennes), les dieux sont en revanche vénérés. Là également, souvent ils légitiment les puissances de la nature et les origines des civilisations humaines. Néanmoins, dans les civilisations humaines les plus avancées, la place des croyance est souvent contrebalancée par celle des forces économiques ou militaires : oui, on "croit", mais le pouvoir ecclésiastiques doit néanmoins composer avec le pouvoir militaire ou économique. Dans de nombreux cas, on distingue deux "Connaissances" : l'une enseignée au "peuple", tournée vers la croyance, et l'autre destinée aux castes les plus éduquées, qui tout en respectant la caste des ecclésiastiques, propose une vision du monde beaucoup plus pragmatique et concrète.

Chez les bleus, il n'y a pas de croyance en des dieux, mais une culture de respect envers des "puissances" à l'origine des phénomènes naturels du monde. On y respecte ainsi les esprits du vent ou les forces de la terre. Ces puissances sont nommées "Unelanvhi" dans la langue des bleus. Par ailleurs, l'esprit des bleus, comme de tout être vivant, fut-il intelligent ou non, est également considéré et respecté. Il en va de même avec un certain respect des ancêtres et de l'esprit des lieux.

Religion monothéiste

Une vieille religion monothéiste semble avoir existé depuis la nuit des temps chez les hommes : la croyance dans un dieu unique et omnipotent, le Dieu Ancien.

Différentes cultures, pourtant non géographiquement liées, basent leur religion sur ce dieu unique, même si certaines reconnaissent également la présence d'autres puissances, de rang inférieures, que son les dieux d'autres religions.

Selon les cultures, le nom donné à ce dieu diffèrent légèrement mais reste toujours basé sur le son Eür : Eürdal, Eür ou Ehur sont des noms que l'on retrouve.

Eür aurait engendré Elohi et tous les principes connus (Temps, étoiles, soleil, lunes, ...) puis aurait donné naissance aux hommes et aux bleus dans ce jardin magnifique. Néanmoins, bleus et hommes se querellèrent et courroucèrent Eür qui décida de les abandonner à leur bêtise. Cependant, les justes, ceux qui agissent selon les commandements d'Eür (qui varient de culture/religion à culture/religion) seront reconnus d'Eür et pourront ainsi s'élever avec lui au delà des contingences d'Elohi, alors que les autres, animaux comme "mécréants" seront condamnés à des cycles de vie infinis sur Elohi... jusqu'à un jour agir selon les commandements d'Eür et ainsi pouvoir le rejoindre.

Il est à noter que la religion d'Eür change beaucoup selon la culture : parfois préchant la générosité et d'autres fois la soumission dans sa forme la plus absolue, les différentes religions d'Eür ne se reconnaissent pas en elle et se traitent mutuellement d'infidèles dévotions à chatier plus qu'à comprendre...

Religion polythéiste

Si certains peuples vénèrent un dieu unique, la religion polythéiste est plus répendue chez les civilisations humaines. Au nombre de 14 (7 dieux et 7 déesses), leurs noms différent selon les cultures, mais ils représentent toujours les mêmes puissances et concepts (même si de petites adaptations locales peuvent exister pour "surcharger" les missions et attributions de tel ou tel dieu).

Généralement, Héria est la femme de Ganolf et le couple forme les "roi et reine des dieux". Néanmoins, selon les cultures, Héria aurait tout d'abord été la femme d'Amessee avant d'être prise de force/séduite par Ganolf : lors de cette séparation et reconstitution, Ganolf et Amessee se seraient disputés et auraient ainsi causé cataclysmes et désolation sur Elohi. Toujours est-il que dans toutes les cultures, Amessee et Nvya sont liés par les liens du mariage.

Dunawa et Wi sont mari et femme, mais il est souvent admis que Dunawa ait des rapports au moins romantiques également avec Uwodi.

Du et Ebba sont également mari et femme. Ils sont considérés comme "inféodés" respectivement à Dunawa (la chasse à la guerre) et Héria (la fécondité au feu sacré). Ils ont une fille, Li, qui elle même est la femme de Talug. Du, Ebba, Talug et Li sont souvent représentés comme vivant ensembles, dans une sorte de famille aux liens assez étroits. Par extension, avec Ar et Ivona, ils représentent souvent également le "peuple" par opposition aux dirigeants/rois.

Iron et Uwodi ne sont pas mari et femme, mais selon les cultures frère et sœure ou simples amants aux liens plutôt distendus (tous deux sont plutôt "volages".

Ganolf

FIXME.

Héria

Héria est la déesse du feu sacré et du mariage. Au delà de ses propres temples, son culte est également célébré dans les temples de son mari, Ganolf.

Elle est aussi nommée la gardienne de la demeure des dieux, et représente également la justice du couple. Connue pour sa légendaire fidélité, elle incarne dans une certaine part l'autorité de la femme dans un couple, et les contraintes que cela pose pour les maris volages. Si la fidélité est une de ses qualité, on ne peut pas en dire autant de Ganolf, son divin époux, et faute de pouvoir l'atteindre, elle se venge sur ses maitresses, ce qui explique les violentes tempêtes qui sont une représentation des "scènes de couple" entre Héria et Ganolf.

Dans chaque famille, sa flamme symbolise l'union et lorsqu'une nouvelle colonie est fondée, les hommes transportent le feu d'Héria de la ville de départ dans la nouvelle cité.

Lors des banquets, Héria reçoit les premières et les dernières libations. Son clergé, est uniquement représenté par des femmes qui doivent rester vierges, et qui, si elle trahissent leur vœu, doivent être enterrées vivantes.

Amessee

Frère de Ganolf, il est le dieu des mers et des océans quand son frère est celui du ciel et de vents.

Cependant, Amessee n'accepte pas la domination de Ganolf et complote souvent contre lui. Pour le punir, il n'est pas rare que vents et courants se déchirent le destin des frêles embarcations des hommes.

Il trompa souvent sa femme, Nvya, mais celle-ci ne lui en tient jamais rigueur.

Amessee est souvent craint plus que vénéré, mais malgré ses défauts, il est dit d'une loyauté et d'une bonté sans égal pour ceux qui ne le trahissent pas et savent juger sur le long terme plutôt que sur les actions passagères.

Nvya

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Dunawa

Dunawa, le dieu de la guerre, est en fait bienfaisant et protège les mortels. Il est aussi, dans une certaine part, le dieu de l'intelligence, de la ruse, des métiers, de la raison, des techniques de combat et de la justice.

Mais Dunawa fait parfois preuve de jalousie et de cruauté. Aussi, sa femme, Wi, lui apporte la tempérance et la sagesse qui font l'étoffe du guerrier et lui permettent de sortir victorieux des plus grands combats.

Wi

Déesse de la sagesse et des arts, elle est le pendant de son mari Dunawa. Dans certaines cultures, Dunawa et Wi ne forment qu'une entité, déesse de la guerre et de la sagesse.

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