Waya
Squisdi

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La faune sur Elohi différent de ce que nous connaissons sur Terre, ce qui n'est guère étonnant pour une exoplanète. Globalement, la faune et la flore sont plus dangereuses que celles présentes sur notre Terre lors de sa période d'Antiquité.

Parmis les éléments représentatifs des espèces communes, on peut trouver les exemples présentés ci-après.

Waya

Race de prédacteur félin à 6 pattes, carnivore et chassant principalement la nuit. Les sens du Waya sont très développés, et sa vision surclasse celle des humains grâce à ses trois yeux disposés en triange sur sa tête (2 yeux périphériques et 1 oeil au sommet du crane).

Pouvant atteindre un pas et demi au garrot, il est rarement dompté de part son caractère très sauvage. Différentes espèces de Wayas existent sur Elohi, selon le climat : le Waya blanc au pelage blanc rayé de gris est le plus grand de l'espèce, et se trouve en région froide. Le Waya brun, plus commun, se trouve dans les climats tempérés.

Le Waya n'est pas un animal social et il vit généralement seul. Néanmoins, lors de ses activités de chasse, il n'est pas rare que plusieurs Wayas s'associent pour isoler une proie. On ignore de quel façon ils se coordonnent pour traquer leurs proies, mais leur tactique est aboutie par des millénaires de chasse : ils se concentrent sur le groupe de cible le plus important, quitte à laisser s'échapper une proie qui s'en éloignerait. Ainsi, en groupe, ils sont redoutables, même pour un détachement d'hommes armés.

Affamé, il ne craint pas la lumière du feu et des récits de Wayas affamés s'attaquant à un hameau isolé font partie des histoires populaires colportées dans les civilisations humaines et bleus.

La fourrure des Wayas est très prisée par les artisants humains. En revanche, sa viande n'est que peu souvent consommée par les civilisations les plus proches de la nature car l'animal y est souvent respecté comme un adversaire redoutable, et donc honorable.

Squisdi

Le Squisdi est une chenille qui prolifère sur les arbustes de bocca, se nourrissant de la sève de la plante et de ses feuilles. Inoffensive pour un humanoïde, son cocon est utilisé par des maitres artisans pour en produire le Siligi, une fibre textile très prisée.

La technique de production du Siligi est conservée comme un secret de fabrication bien gardé et n'est enseignée qu'aux artisans doués et déjà très compétents (voir essai-vestimentaire pour plus d'informations).